A la base c’est une chanson que Matoub Lounès à chanté en concert lors de son vivant et un certain Kabyle Assam Hamimi a décidé d’en faire un film.
Mohand est un jeune berger vivant dans le village de ath ouamer de ath mlikeche, bejaia au coeur des montagne de kabylie. orphelin de son père, il est hébergé avec sa mère louisa et par son oncle. Tout deux mènent une vie de labeur à cause d’un oncle avare et d’une épouse acariatre. L’oncle profite de son statut d’homme aisé pour faire de mohand son ouvrier en échange d’un salaire de misère. Quant à sa femme, nommée Hnifa,elle deteste par dessus tout Mohand et sa mère. Elle nhésite pas à employer de multiples stratagèmes pour souiller leur réputation et les chasser de chez elle………………………..
ce film fait lumière sur le coté ephemère de la vie, la richesse, la gloire et la beauté. Rien n’est acquis dans ce monde sauf pour celui dont le coeur est pur et bon.
La famille du 7e art d’expression Amazighe est en deuil. Le célèbre cinéaste, Assam Hamimi, originaire de Tazmalt, est décédé, dimanche 4 novembre 2012, en son domicile familial, des suites d’une longue maladie. La nouvelle de sa mort s’est propagée telle une traînée de poudre dans la région. Cet homme de culture et de cinéma nous a quittés à l’âge de 61 ans, au moment où il pouvait donner encore plus à cet art qu’il affectionnait avec ferveur, et pour lequel il a donné sa vie entière. Le défunt sera enterré, aujourd’hui mardi, en son village natal de Rodha à Tazmalt. La carrière cinématographique du cinéaste a été jalonnée par des films très connus du large public. Qui ne se souvient pas du film «Acengu mebla udem » (L’ennemi sans visage), ou « Azal n tsar » (le prix de la vengeance), qui a eu le prix Mention spéciale du jury lors du festival du film amazigh à Oran en 2003. Le défunt réalisera, également, d’autres films, comme «Taruzi usirem » (L’espoir brisé) réalisé en 2004 et tourné dans le village d’Ighil Ali et dans la ville de Tazmalt. Il signera, aussi, le film « Lahkem aberkan » (verdict noir), un long métrage sorti en 2005, et dont on dit beaucoup de bien, où il raconte l’histoire de deux femmes journalistes, l’une vit en milieu rural et l’autre en ville, où la première est confrontée à la tradition, à la médisance et aux commérages, qui ont fini par être fatals pour elle… Le dernier produit du cinéaste, sorti en 2010, est intitulé « Ashisef » (désolation), et raconte la vie d’un jeune couple d’étudiants. Assam Hamimi, malgré le manque de moyens, a su se frayer un chemin et se faire un nom dans le monde du cinéma algérien, notamment d’expression amazighe .Repose en paix l’artiste !

 

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