« Je ne veux plus que tu la mettes, la robe kabyle est juste faite pour les fêtes, je ne veux pas que tu reviennes l’après-midi »
Ce sont là les paroles d’un surveillant d’un lycée dans la ville de Vgayet à une jeune kabyle qui se rend à son lycée en robe kabyle et elle lui répond en ces termes :
« Renvoyez-moi si vous voulez mais moi je la porterai aujourd’hui et demain »
Certains responsables scolaires, zélés, et produits par un système éducatif sclérosé, calqué sur des modèles importés d’Arabie et ayant produit ce que tout le monde sait, n’hésitent pas à interdire tout ce qui symbolise la culture kabyle dans les établissements, rien que pour plaire à leurs responsables. Ce sont des incompétents dans la plupart des cas. C’est le cas du surveillant général du lycée mixte Khatri Omar de la localité d’El Kseur, à Vgayet. Ce responsable n’a pas hésité à interpeller une lycéenne pour avoir porté une robe kabyle. « Je ne veux plus que tu la mettes, la robe kabyle est juste faite pour les fêtes, je ne veux pas que tu reviennes l’après-midi », lui lance à la figure le surveillant, toute honte bue. Mais la jeune lycéenne, courageuse comme toutes filles et femmes Kabyles dignes de ce nom, l’a remis à sa place. Elle lui a signifié clairement qu’elle portera toujours cette robe. « Renvoyez-moi si vous voulez mais moi je la porterai aujourd’hui et demain », répliqua la jeune lycéenne. Elle lui donna une belle leçon que ce Kabyle de service n’oubliera pas de sitôt. De quel droit interdire à une jeune fille de porter une tenue vestimentaire traditionnelle ou spécifique à une région ? Cette histoire nous rappelle la jeune collégienne, Katia, qui a été tuée en 1995 à Boufarik par des terroristes pour avoir refusé de porter le voile. Mais ces criminels sont devenus aujourd’hui des « héros nationaux »
« Je ne veux plus que tu la mettes, la robe kabyle est juste faite pour les fêtes, je ne veux pas que tu reviennes l’après-midi »
Ce sont là les paroles d’un surveillant d’un lycée dans la ville de Vgayet à une jeune kabyle qui se rend à son lycée en robe kabyle et elle lui répond en ces termes :
« Renvoyez-moi si vous voulez mais moi je la porterai aujourd’hui et demain »
Certains responsables scolaires, zélés, et produits par un système éducatif sclérosé, calqué sur des modèles importés d’Arabie et ayant produit ce que tout le monde sait, n’hésitent pas à interdire tout ce qui symbolise la culture kabyle dans les établissements, rien que pour plaire à leurs responsables. Ce sont des incompétents dans la plupart des cas. C’est le cas du surveillant général du lycée mixte Khatri Omar de la localité d’El Kseur, à Vgayet. Ce responsable n’a pas hésité à interpeller une lycéenne pour avoir porté une robe kabyle. « Je ne veux plus que tu la mettes, la robe kabyle est juste faite pour les fêtes, je ne veux pas que tu reviennes l’après-midi », lui lance à la figure le surveillant, toute honte bue. Mais la jeune lycéenne, courageuse comme toutes filles et femmes Kabyles dignes de ce nom, l’a remis à sa place. Elle lui a signifié clairement qu’elle portera toujours cette robe. « Renvoyez-moi si vous voulez mais moi je la porterai aujourd’hui et demain », répliqua la jeune lycéenne. Elle lui donna une belle leçon que ce Kabyle de service n’oubliera pas de sitôt. De quel droit interdire à une jeune fille de porter une tenue vestimentaire traditionnelle ou spécifique à une région ? Cette histoire nous rappelle la jeune collégienne, Katia, qui a été tuée en 1995 à Boufarik par des terroristes pour avoir refusé de porter le voile. Mais ces criminels sont devenus aujourd’hui des « héros nationaux »